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                                                                                    Du côté de chez
                                                                                    Marcel...
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                                                            | 
                                                                    
                                                                        
                                                                            | 
                                                                                    … ou plutôt de sa tante
                                                                                    Léonie, derrière un portail de fer forgé l'enfance de
                                                                                    Proust : en dessinant, assise sur le banc d’époque,  je rêvais aux couloirs du temps et à la mémoire vive des
                                                                                    choses aimées : « Objets inanimés avez vous donc une âme qui
                                                                                    s’attache à notre âme et la force d’aimer ?… »*
                                                                                 |  |  
                                                    
                                                        
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                                                                            | 
                                                                                    La réponse est oui !
                                                                                 
                                                                                    Du vieux
                                                                                    fauteuil à l’écritoire, des sombres buffets* au carrelage de la
                                                                                    cuisine… Sainte Madeleine, priez pour
                                                                                    nous…
                                                                                 |  |  
                                                    
                                                        
                                                            | 
                                                                    
                                                                        
                                                                            | 
                                                                                    Carton
                                                                                    d’invitation du Festival de Cabourg 2009, merci mon ami Stephen Melchiori !
                                                                                 |  |  
                                                    
                                                        
                                                            | 
                                                                    
                                                                        
                                                                            | 
                                                                                    À quelques encablures du temps
                                                                                    retrouvé, entre Perche et Beauce, la route partage
                                                                                    forêts et champs moissonnés. Au gré des pics de vitesse de l’Alpha Roméo et des embouteillages de tracteurs…
                                                                                    nous voilà à Thiron-Gardais* connu du grand
                                                                                    public grâce à Stéphane Bern, dont la belle cohérence et l'authentique amour de l’histoire de France se sont
                                                                                    attachées à l’âme percheronne pour aller jusqu’au bout des choses.
                                                                                 |  |  
                                                    
                                                        
                                                            | 
                                                                    
                                                                        
                                                                            | 
                                                                                    La restauration de l'ensemble architectural dont il
                                                                                    s'est porté acquéreur il y a cinq ans avance : les pierres revivent
                                                                                    et même les arbres nous le disent, promenons-nous dans l’histoire pendant que les oiseaux chantent...
                                                                                 |  |  
                                                    
                                                        
                                                            | 
                                                                    
                                                                        
                                                                            | 
                                                                                    Cet arbre qui se marre n’est pas n’importe qui lui non plus
                                                                                    : l’association
                                                                                    A.R.B.R.E.S lui a attribué en 2018 le label « ARBRE REMARQUABLE DE FRANCE », pour le
                                                                                    travail accompli par la communauté  de communes Terres de Perche dans les jardins
                                                                                    de l’abbaye de Thiron Gardais, afin d’entretenir, préserver et sauvegarder le tilleul
                                                                                    révolutionnaire Tilia Cordata mesurant en 2017 vingt mètres de haut, pour une
                                                                                    circonférence de 6,75 m. Il a été planté il y a 200 ans, lorsque les pauvres moines furent chassés par les
                                                                                    sanglants révolutionnaires.
                                                                                 
                                                                                    Détail
                                                                                    : « Le pays merveilleux des écureuils », reproduction disponible à la boutique.
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                                                                                            | « Dans le Perche » La maison de Didier à l'orée des grands
                                                                                                bois, 45 x 31 cm, stylo bille direct, 3 séances d’une heure trente (cherchez les animaux : libellule, chat,
                                                                                                chien, merlette, moineaux, papillon…)
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                                                                            | 
                                                                                    Devoir
                                                                                    de Maman à 16 ans, plume sergent-major.
                                                                                 |  |  
                                                    
                                                        
                                                            | 
                                                                    
                                                                        
                                                                            | 
                                                                                    En dessinatrice de terrain je suis bien d'accord
                                                                                    avec Ingres et ce n’est pas pour faire du genre que je mets la
                                                                                    photo de mes pieds : c’est un cadeau pour ceux qui veulent dessiner, en effet, étant une « instinctive », dès 17
                                                                                    ans, lorsque je dessinais sur le vif, je commençais par mes pieds et mes mains en premier plan, non pas
                                                                                    pour mon nombril, mais parce que, tout simplement ils étaient dans mon « cadre ».
                                                                                 |  |  
                                                    
                                                        
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                                                                                    Par
                                                                                    ailleurs, je l’ai compris plus tard : ils me donnaient la mesure de tout le reste, avec la pratique je les ai
                                                                                    abandonnés… mais je vous donne le truc, essayez vous allez « VOIR », de plus, cette position permet un
                                                                                    très bon appui du dos, libère le buste, donc la mobilité de la tête et la respiration ! Il y a tant à dire… mais
                                                                                    c’est la fin de la chronique, et peut-être... la fin des haricots ?*… Faut que je
                                                                                    demande au jardinier… et à la Sainte Vierge ?! Qui sait ?… 
                                                                                 |  |  
                                                    
                                                        
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                                                                            | 
                                                                                    Qu'importe : nous mangerons des étoiles ! Halleluya
                                                                                    !Bonne Assomption à tous.
 
 Catherine Dubreuil
 
 *PS. La réponse est non :
                                                                                    résistons !!!
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                                                                                    souhaitez acquérir un dessin du site autre que ceux de la « boutique »ou si vous souhaitez une dédicace ou un conseil, faites le moi savoir par mail, nous nous téléphonerons,
 c’est moins virtuel, beaucoup plus pratique, bien plus sympathique,
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 Les dessins existent aussi en reproduction de qualité signées et numérotées, de 60 à 100 euros, en 30x40cm.
                                                                                    Merci.
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